Modifié le 31-12-04 à 15:59 (GMT)Demander un avis à un psy c’est faire réviser votre voiture par un garagiste. Les impératifs financiers sont une maladie mentale qui entre en ligne de compte.
Un juge ne devrait pas se fonder sur un rapport qui émet un avis « diagnostic de tendance » ou de « noms savant » d’un comportement social des plus répandus, mais simplement sur un acte à évaluer juridiquement.
Le rapport médical ne devrait entrez en compte que comme la détermination de la raison d’un acte condamnable, et non pas être un justificatif à une condamnation.
La présomption d’un acte, n’est pas une culpabilité, encore moins au niveau médical de celui qui peut potentiellement avoir commis l’acte, le plus souvent « M. tout le monde »
Ainsi un médecin qui détermine par intérêt et excès de zèle « un nom savant à un état banal » peut vous faire condamner, par son simple jugement médical.
L’incompétence des juges, qui se bornent à connaître les textes de lois, et une procédure mécanique, respectent le plus souvent, par crainte de leur incompétence, « une étiquette hiérarchique galvaudée par des trafiques d’influences multiples » au détriment d’un jugement de bon sens représentatif des lois, ce qui a pour conséquence des aberrations notoires.
C’est un fait réel, exponentiel.