C’est un peu contextuel : quand j’ai publié cet article, l’éducation thérapeutique était sur toutes les lèvres, mais dans un seul sens : le médecin qui éduquait le patient.
Ce que j’avais écrit alors paraît moins exotique maintenant, à l’heure du patient expert invité dans les colloques, voire dans les congrès médicaux. Mais en 2009, c’était une véritable provocation.
Je suis très heureux que vous n’ayez pas compris ce qu’il y avait de paradoxal dans ce billet, c’est bon signe pour l’avenir.