Le fait que le médecin ait aujourd’hui pris la place du curé a quand même des fondements.
Ceux-ci reposent sur les mêmes influences cachées des croyances.
Nul doute que le médecin aujourd’hui a pris la place jadis tenue par le curé.
La recherche de la santé remplace la quête de salut de jadis.
L’espoir de l’immortalité du corps (par clonages, etc.) l’emporte sur l’attente de la Vie Éternelle.
Pasteur a détrôné le Bon Berger, et la vaccination joue le même rôle initiatique que le baptême. Demain, un mythique vaccin Universel sauvera l’Humanité de toutes ses maladies, comme jadis le Sauveur de tous les péchés du monde ... (Excepté, hélas, de la c... humaine : voyez H1N1...)
Le pouvoir médical s’est aujourd’hui allié (aliéné ?) à l’État, comme jadis celui de l’Église.
Les "charlatans" sont à présent poursuivis comme les "hérétiques" de jadis.
Le dogmatisme (allopathique) prévaut désormais sur toute ouverture possible envers d’autres paradigmes jugés "peu catholiques" ou "peu orthodoxes", selon.
Etc.
L’Homme s’est aujourd’hui aliéné à son corps, comme jadis à la quête alléguée de son âme.
Après avoir déserté les églises, les foules ignorantes se sont tournées vers les médecins dont elles remplissent pour le moment encore les salles d’attente. Mais plus pour très longtemps.
D’ailleurs, des médecins, dame, il y en a presque plus, tout comme il reste encore moins de curés.
Tout fout’l’camp :-)
Quid de demain ?
Voici joint un texte qui en dit long sur les rapports - étroits ’ entre Médecine et Religion (pj)
Salamalec.