Bonjour,
Le problème des salariés de ces entreprises n’est pas pertinent. Si leur salaire sert à plomber les comptes sociaux et altérer la santé publique, autant en effet qu’ils changent de métier.
Vous citez des revues de spécialité financées à 70% par leurs abonnements et gardant une éthique éditoriale. Elles ne sont donc en rien menacées par une réévaluation par la Commission paritaire telle que je l’appelle de mes voeux, bien au contraire : elles souffrent aussi d’une presse gratuite pour spécialistes qui détourne leurs abonnés.