Bonjour,
Prendre les médecins pour plus naïfs qui ne se croient est une attitude saine et souvent judicieuse. Quand bien même la presse gratuite ne représenterait que 10% des causes de malprescription, cela me paraît suffisant pour examiner de très près leur dossier de diffusion payante, c’est à dire tout simplement appliquer rigoureusement la Loi.