Le doc Horan auteur de "the big scare, the business of prostate cancer" pense qu’il y a grand biais dans l’étude européenne et donne l’explication suivante : Dans le groupe dépisté et traité, un traitement hormonal est immédiatement proposé dès la remontée du PSA après prostatectomie ou autre. Par contre, puisqu’il n’y a aucun contrôle, ce traitement n’est administré que si le cancer présente des signes cliniques chez le groupe non dépisté, donc à un stade plus avancé . Le premier groupe bénéficierait d’un avantage du au traitement hormonal plus précoce qui prolongerait alors la durée de vie. Ce ne serait pas la chirurgie ou radiothérapie préventive qui expliquerait cette différence de 20%.
http://www.cancerrealitycheck.com/2011/11/interview-with-dr-anthony-horan.html