> C’est peut être dommage pour le patient d’exclure le pharmacien de ce dispositif et pour ce motif. Il faut passer au dessus de cet obstacle/frein qui est plus subjectif qu’objectif.
> La littérature et les expériences étrangères montrent que l’on peut améliorer la qualité des soins et de diminuer la iatrogénie par l’intervention d’un pharmacien clinicien ! (niveau de preuve basé = métaanalyse/essais randomisés).
> Le jour ou l’on aura appris à travailler ensemble sur la base d’une relation professionnelle concertée, on oubliera très rapidement l’obstacle que vous mettez en exergue
> A nous pharmaciens, de vous montrer ce que l’on peut faire. A vous médecins de nous faire confiance et de créer les conditions de notre collaboration !
> Je suis peut être à coté de la plaque puisque votre démarche concerne l’avenir de la Médecine générale, notamment dans les déserts médicaux, et non la coordination des soins. Cependant, je serais vous, j’irai pleurer à l’assurance maladie pour que l’on vous attribue un pharmacien clinicien d’officine à votre pratique !!! On vous apportera plus qu’un VM recyclé (ma jalousie reprend le dessus, désolé ! Je n’ai pas trouvé de revue méthodique sur leur rôle pour éviter la iatrogénie !!)
Un petit lien pour la route http://www.minerva-ebm.be/fr/article.asp?id=1478