Et le problème véritable devient, peut-être par nécessité de se protéger par le biais de la rétention d’information, une baisse dans la qualité des soins ou le refus de soins, voire l’erreur médicale, et la sécurité sociale, instrumentalisée, en devient peut-être la grande responsable, alors qu’elle est censée agir principalement pour sanctionner les médecins qui commettent des abus. On suit le patient, le gentil chien-chien : vas-y cherche les mauvais médecins afin qu’on puisse les faire radier par le conseil de l’ordre, et tant pis si vous mourez car les méchants auront été punis ; ces méchants qui augmentent le déficit de la sécurité sociale parce que, au lieu de soigner les maladies incurables à moindres frais, pour que le patient puisse retourner au travail dans les meilleurs délais, et cotiser à la sécurité sociale donc, ...
Ce serait mieux s’il y avait des médecins pour visiter les patients à domicile, ce que les maires ruraux réclament.