Bonjour,
Salariser ou mixer la rémunération à l’acte+forfait ou comme actuellement se taper nombre de tiers payant qui ne seront pas réglés !
Le problème de la rémunération passe d’abord par l’application stricte d’une loi honnête et impartiale. Hors actuellement, les autorités en place (surtout celles qui gèrent et doivent payer) se permettent de ne pas régler une énorme partie des tiers payants aux professionnels de santé concernés (les justifications des salariés au sein d’un système hiérarchique pyramidal seront valables : faut qu’on mange moi et mes gosses-faut sauver ma retraite-faut maintenir mon niveau de vie, en bénéficiant de privilèges divers au prix des pires escroqueries couvertes par les hautes autorités comme une véritable institution mafieuse à l’échelle nationale).
Créer, distribuer et profiter des tiers payants tels qu’ils sont actuellement relève du racket et de la fraude en bande organisée (définit comme telle dans le code de la sécurité sociale pour les professionnels de santé uniquement) : c’est comme fabriquer de faux billets qu’on sait ne pas avoir à honorer quand bon vous semble !
Alors, allez déjà chiffrer les montants colossaux économisés sur le dos des professionnels de santé sous cette forme (le trou de la sécurité sociale ?) ; puis qu’une législation rigoureuse sanctionne financièrement ou autrement le professionnel de santé fraudeur comme l’administratif escroc comme l’assuré voleur (je vous informe que les organismes de gestion-prestations sociales ne se gênent pas de sanctionner financièrement un médecin qui reçoit un(e) assuré(e) avec une CMU valide en dehors du parcours de soins coordonné, si ce médecin ne stipule pas cela comme un acte urgent ! ; tout ceci au mépris de la législation en vigueur et je ne parle pas du non respect de l’article 12.3 de la convention nationale des médecins généralistes et spécialistes par les organismes de gestion-prestations sociales dans une même impunité).
Je n’adhère pas au concept d’être soumis à la partialité mafieuse (racket ?) des organismes de gestion-prestations sociales et autorités de santé en place concernant mes modalités d’exercice !
Si, des plus jeunes sont d’accord et bien qu’ils y courent (ça ne leur suffit pas les nouvelles dispositions concernant la première installation des jeunes médecins en libéral "justifiées" par des personnes qui ont fomentées cette situation et rejette la faute sur des intermédiaires médecins qu’ils régentent de façon inquisitoire depuis des années ; avant on parlait des "médecins mandarins" et maintenant des "triades de cols blancs").
Quand un système politico-social asservit une minorité au nom du bien public et de la "santé" de la nation, ça s’apparente à d’anciennes réalités historiques.
Pour ma part aussi, m’entendre dire que l’on m’a fait don ou fournit gratuitement une scolarité pour me permettre de devenir médecin, alors que j’ai travaillé régulièrement de nuit pendant des années pour survivre et aller en cours le jour, par des pourris gagnant leurs galons par "héritages" divers.
Et je n’irai pas aussi sur le terrain de cette attribution exponentielle de tiers payants qui se dirige vers un détournement industriel du soins gratuits à des fins non sanitaires par des assurés d’une moralité douteuse dont personne ne peut se plaindre au nom de la dite empathie universelle médico-ordinale et autre !
Y’a des limites à tout et je vous salue.