Merci pour vos remarques et précisions.
Quelques questions : d’où sortez-vous le coût de 8000 € pour la recherche d’un déficit en protéine S ?
Vous attribuez le risque artériel aux oestrogènes. Certaines études vont en effet dans ce sens. Ayons toujours en tête qu’il s’agit d’étude d’observation dont le niveau de preuve est faible.
Pourtant, dès que la pilule est remplacée par le traitement hormonal substitutif, le sur-risque artériel est lié au progestatif et est absent en cas de prise d’estrogènes non associés. Comment expliquez-vous ce paradoxe ?