Quand on lit tout cela simplement pour la contraception orale on comprend le décalage entre les valeurs du patient lambda et celles du praticien ...
Au moment où l’acte médical est dévalorisé au profit d’une santé publique évidence assénée à coup d’objectifs de santé publique par une convention détournée de sa fonction les praticiens se demandent comment prescrire la pilule ...
Euh est ce que les praticiens étrangers recrutés pour combler les vides se préoccupent de tout cela ou simplement de maitriser le français ?
En fait nous sommes ici dans l’excellence pendant que le système pédale dans la semoule d’où la nécessité d’organiser des équipes d’excellence susceptibles d’intégrer les praticiens débutants et étrangers, de perfectionner les chevronnés grâce à l’analyse critique et l’échange de données validées ...
On voit qu’on en est loin ... que les réquisitions pleuvent en cette fin d’année
Il ne faut que des noms sur un tableau ,des supplétifs requis ... peu importe si ils s’interrogent sur les risques des pilules ...