Le maître mot de toute cette affaire est la plainte au pénal et la peur des politiques. Il y a probablement une tempête à la DGS et l ANSM. Regardez bien, lors de chaque affaire de santé publique, il n’y que le ministre de la santé qui s exprime, pas les autres membres du gouvernement , ni le premier ministre encore moins la présidence. Et encore , en l espèce on laisse se dépêtrer le directeur de l’ANSM.
Il faut être factuel dans ce genre de dossier, dans sa communication aussi . Lister les bénéfices , les risques et expliquer la décision.
Malheureusement , cette affaire n’est qu’un symptôme de la gouvernance sanitaire et des difficultés des agences.