pendant ce temps là comment refuser la demande de PSA d’un patient qui dit avoir un proche chez qui on a découvert un cancer de la prostate "trop tard" ?
comment reprendre tout cela en consultation alors que notre métier n’a plus les moyens de défendre le praticien qui exerce en conscience tellement la pression du spécialiste est forte pour prescrire prescrire prescrire contre la peur ...mais la peur de qui ?
nous le voyons dans l’exemple DIANE la réalité du praticien quant au risque relatif ne tient face à la peur du public et des autorités
la démagogie en santé ne s’accommode pas de données statistiques actualisées
La santé c’est autre chose qu’un bien de consommation que l’on peut soumettre au droit et à l’économie
Comment rester serein quand il s’agit de maladie ,de vie ,de nombre de décès ...
Ignorer les spécificités d’un système et l’état d’esprit que l’on induit par la "prise en charge"déclarée des problèmes tout en exhibant sans cesse le coût d’un tel système c’est totalement paralysant et démotivant .
La médecine générale devient une mission impossible ...