Nous disposons de très peu de vaccins qui ne luttent que contre une partie des vecteurs de la maladie (sauf la grippe et les méningites). Tétanos, polio, coqueluche, diphtérie, rougeole, oreillons, rubéole : la protection concerne tous les agents infectieux, ne permettant l’apparition d’aucune résistance (même si c’est plus compliqué pour le tétanos et la coqueluche).
Je dis simplement qu’avant de dépenser 160 millions d’euros tous les ans et d’exposer des adolescentes à des adjuvants injectables dont l’effet est mal connu, il nous faudrait un peu plus de certitudes, sachant que le "plan B" que représente le frottis donne d’excellents résultats en attendant.