Tu as raison sur le fond. Néanmoins, les besoins réels sont impossibles à définir. Ils sont presque sans limite. Par exemple, la présence d’au moins un médecin prescripteur plein-temps pour 50 patients dans les EHPAD ne serait pas du luxe. Idem pour les consultations spécialisées pour migrants ou nationaux en détresse sociale.
Je précise bien qu’il s’agit d’une pléthore ou d’une pénurie par rapport à la demande ressentie, et, je ne l’ai pas assez précisé, la solvabilité du "marché".