Je ne pense pas être une exception par le fait de faire des DU. Mes collègues autour de moi en ont toutes fait, sur différentes sujets en rapport avec notre travail (obésité, périnatalité, santé publique and so on). Ma différence, peut-être, c’est que j’en ai fait plusieurs. Aussi bien j’ai beaucoup de collègues qui consultent leurs mails pro pendant les vacances et qui travaillent sur des sujets qui les intéressent (cela peut être l’organisation d’actions de prévention collective ou la lecture de revues médicales) pendant leur temps libre à domicile.
Nous sommes condamnés, en quelque sorte, à trouver notre source de motivation dans le travail lui-même, parce que nous n’avons aucune chance de la trouver dans la rémunération ou dans la reconnaissance des pouvoirs publics.