Je suis désolé, mais je répète que le déficit de l’assurance maladie est un problème de recettes et non de dépenses. Et malgré votre analyse segmentaire de la santé des français, nous nous portons plutôt bien.
En pratique, l’usine à gaz ne doit pas être complexifiée par un TPG, mais démontée à la source, d’où l’irritation des médecins. Que les assureurs santé fusionnent et suppriment les postes devenus inutiles, qu’ils créent au maximum une douzaine de guichets de paiement du tiers payant, et on pourra reprendre la discussion sur le TPG. En attendant, notre colère vient de cette façon insupportable qu’a l’administration de la santé de vouloir faire supporter aux libéraux les conséquence de ses propres errances.