Depuis longtemps j’ai soigné des veterinaires , les premières fois c’était dans les Ardennes belges, foyer du blanc-bleu-belge un bœuf tellement viandeux qu’il ne peut vêler que par césarienne, les vétos étaient accueillis dans les fermes avec le fusil, prié de de dévêtir et de revêtir une tenus neuve et de passer dans un pédiluve de javel tellement is étaient suspects de colporter tous les miasmes du monde. Quand ils prenait un coup de corne ou autre chose les plaies s’injectait quasi toujours avec des bestioles de compétition bien pires que celles de notre REA. Dernièrement j’en ai soigne un qui paniquait à l’idée de se faire opérer sans 3 semaines d’ab en postopératoire, je n’ai pas cédé mais je suis sur qu’il s’est pris ces remèdes de cheval, malgré tout il s’en est sorti !