La démarche est intéressante et novatrice.
Mais, dans un premier temps, le premier souhait des patients ou des médecins les orientant n’est-il pas, plutôt que la recherche des "excellents ou très bons" (ressources rares, qui peuvent difficilement augmenter leur activité) d’éviter les "franchement mauvais" ?
Ce qui supposerait la mise en place, en parallèle du système de recommandation, d’un système d’alerte, du type " je ne recommande absolument pas ce confrère pour tel acte". Un peu plus difficile, certainement.