1°/ on est dans le non-significatif sur la mortalité totale, encore et toujours, sur toutes les études : réalité gênante pour les "pro" mais fait scientifique, établi par eux-mêmes d’ailleurs -)
et ça :
" En niant l’effet sur la mortalité totale, tu sous-entend que les décès dus à d’autres causes et liés au dépistage existent en nombre équivalent. C’est à toi de le prouver."
"tu affirmes et répète plus bas que le dépistage du cancer colorectal n’apporte rien"
non : je constate juste que les "pros" démontrent, d’eux-mêmes, et ce dans toutes les études, l’absence d’effet significatif sur la mortalité totale
2°/ il faudrait un million de suivis : en quoi est-ce impossible ?
on consacre bien entre 150 et 200 millions d’euros par an (estimation Cour des comptes) juste pour la France à un truc qui n’a rien prouvé. Et ce avec la participation actuelle de 30% (5 millions de personnes), à 50 % on serait à 300 millions, à 100 % à plus de 500 millions.
quel est la dépense au niveau européen pour cet inutile : 500 millions ? un milliard ? plus ? par an, tous les ans ?
c’est combien le coût d’étude à un million de suivi ?
à 80 euros par unité (chiffre Aprémas) ça fait une base de 80 millions /2 /2 = 20 millions par an pour tester tous les 2 ans 500 000 personnes
soyons généreux, comptons autant pour le groupe de 500 000 témoins
40 millions par an pour savoir / 200 millions par an de charlatanisme médical
3°/ la première question valable sur cet inutile est donc :
à qui profite le crime ?
4°/ la deuxième question valable est :
y-a-t-il une autre position scientifiquement recevable que de prôner l’arrêt du bouzin et le transfert des finances vers une étude qui donnerait un réponse fiable ?
5°/ j’ai les test au cabinet, les patients qui me le demandent l’ont : ils sont majeurs, ils décident
PS :
"Tu fais en cela une confusion fréquente, celle d’une étude de non-infériorité significative, avec un étude de supériorité non significative. Dit autrement, tu confonds la preuve de l’absence de différence, avec l’absence de preuve d’une différence."
j’ai écrit que c’est la négation de progrès, pas autre chose (non-A n’est pas l’opposé ni l’inverse de A, mais tout ce qui n’est pas A)