Si je peux m’immiscer...Docteur,
1. Pourquoi cet amalgame entre nocebo et placebo alors que les effets sont antagonistes ?
2. Que sait-on du fonctionnement du cerveau d’un malade face à la maladie ? je pense à ces personnes ’locked-in" que l’on imagine dans le coma et qui pourtant sont conscientes
http://www.alis-asso.fr/lis-qui-suis-je/locked-in-syndrome-presentation/
3. Que sait-on en médecine occidentale de l’impact complètement négligé et pourtant valorisé en médecine chinoise : la composante " énergétique" de l’être humain ? L’effet nocebo en serait peut-être une variante primitive, manquant de nuances ! Si l’on veut absolument un cerveau capable d’autodestruction, on peut aussi croire en un cerveau capable de bloquer le processus destructif, non ? Un patient doté de discernement pourrait avoir la faculté d’analyser l’information négative sans pour autant en souffrir physiquement ou psychologiquement ?
4. Le but de tout être normalement constitué, doté d’un instinct de survie en bon état, EST la guérison face à la maladie, d’où l’effet placebo que je peux aisément admettre. Par contre, l’effet nocebo est suicidaire...je n’en vois pas l’utilité pour un malade cherchant une info, quelle qu’elle soit, pour lui permettre de comprendre et contribuer à sa propre guérison.
4. En supposant que l’accès à une information négative impacte l’aptitude du malade à aller mieux, peut-on en déduire que toute information négative rend malade ? Si non, pourquoi ?
Quel mécanisme permettrait à une personne " saine" de ne pas tomber malade face à une info négative susceptible de la concerner ?
Je ne pinaille pas, je cherche à comprendre cet effet nocebo ( je ne suis ni médecin ni expert de la santé), merci .