En dehors du cas particulier de la psychanalyse et de la psychiatrie, avec leurs phénomènes compliqués de transferts,etc., la difficulté vient du fait qu’on pourra toujours dire à une patiente qui consulte pour des questions purement organiques : "Si le comportement de ce médecin vous a paru suspect, pourquoi n’en avez vous pas changé ?"
Et puis, que voulez-vous mettre exactement dans le Code ? Qu’un médecin ne pourra jamais avoir une relation sentimentale et sexuelle avec une patiente qu’il a soignée, même s’il la rencontre ensuite ailleurs ? Et (pour troller un peu) les nombreux médecins qui soignent leur femme devront-ils divorcer ?