Dominique, ceci dit :
d’accord pour que vos préconisations figurent sur le Code de Déontologie, il faut que ceci soit écrit quelque part ;
mais, en pratique : croyez-vous que cela sera possible à appliquer, qu’on pourra prouver l’absence de tout contact entre le médecin et son ex-patiente pendant les 6 mois précédant une aventure amoureuse ? Je crois qu’il sera toujours impossible d’empêcher une relation sentimentale, ou simplement sexuelle, entre un médecin et sa patiente, au cas où les deux en aient envie : d’ailleurs, dans ce cas-là, qui porterait plainte pour qu’une autorité ordinale ou judiciaire puisse s’en saisir ?