Je compatis, cher (jeune) collègue, et quand je vois la tournure que prennent les rapports hommes-femmes dans notre société ; je me dis que c’est pas plus mal, en ce qui me concerne, de m’acheminer vers un âge ou mon service trois pièces ne me servira plus qu’à pisser (non sans difficultés, d’ailleurs, faudra que j’aille voir un confrère urologue un de ces jours, mais la perspective de me faire enfoncer un doigt masculin, fut il ganté, dans le fondement m’enchante modérément...)
je remercie le Ciel qui, en sa grande sagesse et bonté, m’a permis de n’engendrer que des filles : si j’avais envoyé sans qu’il m’ait rien demandé (et pour cause) un garçon dans ce monde aussi hostile aux mâles, çà me culpabiliserait passablement.