Il me semble que le Code de Déontologie doit se borner à rappeler que le délit ou le crime (selon les cas) d’abus de faiblesse s’applique aussi aux médecins, comme à tout autre professionnel, mais ne pas aller plus loin dans les détails, au risque de produire un effet inverse à celui souhaité : dire que les relatons sexuelles sont particulièrement interdites aux psychiatres signifie qu’elles le seraient un peu moins aux pédiatres...