En réponse à :
5 avril 22:34, par Lydia
Un médecin peut à titre personnel/amical soutenir un confrère hors-la-loi. En sa qualité de médecin, en revanche, j’ai du mal à concevoir qu’il puisse le faire sans contrevenir à ses obligations déontologiques. L’avocat dudit confrère s’en chargera.