Merci les z'amis. C'est toujours bien les z'anniversaires.Pour répondre à ta question Loic, en fait c'est comme dans la vrai vie, le plus dur c'est de sortir (et de se décider à sortir).
Les 15 premiers jours, tu as encore ton cordon ombilical, tu as du mal à faire le switch. C'est l'enfer. Et tout doucement, tu apprends à vivre en tétant ta mère. Y' paraît même qu'après on peut s'en passer.
Je crois que ça c'est passé pour moi un peu comme pour tout le monde. Marre de fumer 1 à 2 cartouches par semaine. Marre d'être essouflé en montant les escaliers. Décision d'arrêter. Echec au 3ème mois (2 fois) pour cause de déprime, de bêtise aussi. Là, j'ai arrêté pour toujours.
Pas de substituts aucun.
Ce qui est con, c'est que ma cops fume toujours elle. A pas compris. A jamais ressenti la lassitude de vivre dans la fumée. Je ne veux pas la bloquer, je laisse murir sa décision et j'espère qu'elle murira plus vite que son éventuel cancer...
Ah oui, mes deux armes pour arrêter.
- ne pas se faire violence ou du moins, se faire plaisir - par exemple ne pas hésiter à boire du bon vin, à bien manger (équilibré évidemment)
- faire du sport - J'ai toujours considéré que le sport c'était pour les cons, eh ben c'est moi qui n'avait rien compris. En plus, c'est un outil magnifique pour arrêter la clope, genre 30 minutes par jour c'est amplement suffisant. Commencer en douceur. Ne pas forcer. Et doucement, entraînement + santé retrouvée vous permettront de faire un cure de jouvence.
C'est pas tout mais je pars en déplacement quelques jours. C'est le Midem, ambiance concert enfumé, discussions tard le soir, boissons et plus si affinité.
Faut juste que je reste zen.

Remix