Bonsoir,Merci pour vos réponses diverses. Alexssandra(je me demande si votre prénom s'écrit bien ainsi), pour vous apporter une réponse succinte, je suis en fait venu sur ce forum pour voir quels genres d'échanges les gens, qui souhaitent arreter de fumer, peuvent bien entretenir dans des forums tels que celui-ci.
J'ai des difficultés à entendre comment tant de personnes ne parviennent pas à cesser ce qui pourrait les tuer très vite. Je m'attache à étudier les manifestations du désir, sa force, les illusions qu'il induit, etc...
J'essaye de déterminer dans quelles mesures, comment et pourquoi s'établit un rapport entre, d'un coté, la volonté d'entretenir la persistence d'une cause de destruction de soi et, de l'autre, la conscience d'une dépendance à un objet contingent à soi.
J'ai profité de l'occasion de mon passage pour faire part de mon expérience personnelle et pour défendre la position des "fumeurs occasionnels" tels que moi.
On m'accuse de venir parler pour ne rien dire d'interessant car on ne veut pas entendre autre chose, bien souvent, que ce qui peut condamner radicalement la cigarette.
Je propose une expérience alternative qui, il est vrai, n'a pas sa place dans ce forum. J'en suis navré; peut-etre aurais-je du m'abstenir de présenter une telle forme d'épicurisme ici comme l'a dit justement quelqu'un.
J'espère, en passant que mes vieux conseils de grand-mères ne serviront pas qu'à elles...
Le moyen le plus radical de détruire un effet est d'en supprimer la cause et il est vrai, relativement à ce point, que production nulle engendre consommation nulle. Seulement il s'agit-là d'un combat qui n'est plus le mien que celui d'agir contre les grands producteurs si ce n'est de ne pas acheter personnellement le produit.
Je pense aussi que ceux qui lisent ce message souhaitent avant toute chose arreter de fumer. C'est pourquoi je n'ai pas parlé des différents moyens qui pourraient faire baisser la consommation de masse.
A bientot.