Bonjour, Je voulais vous dire qu'arrêter de fumer est, pour moi, très facile dans les premiers jours : aucun signe de manque. Mais au bout d'une semaine, la clopinette envahit mon esprit et me persécute.. c'est là que je craque. Actuellement, ma compagne m'interdit de fumer dans notre appartement, ce qui me relègue à la terrasse où il commence à faire de plus en plus froid à l'approche de l'hiver. Et, de celà, j'en ai marre. Je sais que je peux facilement arrêter de fumer quelques jours.. mais la tête n'est pas de cet avis.. Comment me débarrasser du côté psychologique de l'arrêt du tabac ? Si vous m'aidez, j'arrête dès aujourd'hui, et non pas demain comme prévu, de stopper cette coquine de cigarette. D'avance, merci
|