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"Poème d'automne..."

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Antidote (2 messages) Envoyer message email à: Antidote Envoyer message privé à: Antidote Voir profil de ce membre Voir addresse IP de cet auteur
27-08-04, 15:03  (GMT)
"Poème d'automne..."
Ah, que la beauté était belle
et l'infinie puissance cruelle
m'en mordant jusqu'au NEUTRE-SANG
il aurait dû rester le néant.
Cédant au venin de tous les possibles
vertige de mon insatiable abysse
qui hurle sa totale terreur
il me fallait avoir un coeur.

Sortant le temps, je suis plus qu'ouvert
engendrant à chaque instant tous les univers
et, de mes entrailles si intimement déchirées
de cette douleur sans cesse étonnée
la poursuite de la moindre TRANCHURE
va bien au-delà de la perfection la plus pure
car, l'ultime forme cédant au noir
en réalité, il ne reste plus que CROIRE.

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  Liste des réponses à ce message

  Sujet     Auteur     Posté le:     ID  
 RE: Poème d'automne... demi_lune 30-08-04 1

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Texte des réponses

demi_lune (41 messages) Envoyer message email à: demi_lune Envoyer message privé à: demi_lune Voir profil de ce membre Voir addresse IP de cet auteur
30-08-04, 16:26  (GMT)
1. "RE: Poème d'automne..."
J'aime bcp écrire des poèmes!
Les voila:

A Diane


Une journée classique, un hasad, et vint l'amour;
Ce sentiment intense peut d'averer très court
Et même sans avoir appris à te connaître,
Je savais que grâce à toi je pouvais renaître.

Et si au départ je te voulais comme amie,
Mon coeur bien vite comprit que tu étais ma vie.
Chacun de tes sourires éclairaient mes journées,
Chacun de tes regards envoutaient mes pensées.

Sans douter de moi je t'ai déclaré ma flamme
Que vite tu eteignis, sans aucun état d'âme.
Mais le pire, que je croyais passé, m'acheva;
Quand je compris ce qu'avant je ne voyais pas.

Parfaite devant moi, tu m'humiliais dans mon dos,
Voila comment tu tuais les gens, par les mots.
Je réalisai cette hypocrisie trop tard,
Moi qui croyais avoir trouvé la perle rare.

Mon amour à tes yeux ne représentait rien
Mon coeur détruit voudrait se défaire de tes liens.
Ton sourire, toujours là, ne s'adresse plus à moi,
Tu ne m'aimes pas, mais je pense encore à toi.

Pour ne pas laisser cette souffrance m'anéantir,
Je crus mon ami qui seul pourra m'en sortir.
Il dit de jouer jusqu'à épuisement total,
Cet ami ne me trahit, merci Basketball...
_____________________________________________________

Déchéance

Je marche seul, abandonné dans le brouillard.
Faible et dépité, j'arpente l'asphalte lentement.
Dans mon esprit où l'amour est rare,
Ton visage ne s'efface pas malgré le temps.

Chaque passant que je croise me semble déja mort;
Leurs yeux ternes et vides me paraissent sans sentiments,
Comme si ils s'étaient tous résignés à leurs sorts,
Celui d'accepter de souffrir indéfiniment.

Sans toi ma vie ne sera plus jamais la même;
Cette vie annihilée par un amour ipossible.
Jamais je n'aurais cru ce sombre stratagème.
J'aurais dû devienr que je n'étais qu'une cible.

Je continue ma route sur les trottoirs de la ville
Dans laquelle même l'éclairage me parait obscur.
Pourtant, une tour se dessine, au dela des tuiles
Par son éclat digne de la plus belle des armures.

Détérminé mais appeuré, je me dirige
Vers ce bâtiment qui, de plus en plus, m'obsède.
Je suis bien conscient du futur que je m'érige;
Mais tout cela est ta faute, et je n'ai pas besoin d'aide!

J'entre, prends l'ascenseur et monte au cinquantième étage.
A partir de ce moment, je sais que je me condamne.
Mon coeur fut brisé, prisonnier de ton image,
Tu as réussi, tu as gagné ma petite Diane!

Je suis maitenant sur le toit; il fait très froid,
Mais sûrement beaucoup moins que dans mon coeur glacé
Que tu as martyrisé sans penser à moi
En te contentant d'humileur mon âme ésseulée.

J'approche du bord et obsere quelques lueurs par-,là,
Je réfléchis et ne vois plus que tes yeux.
Ca y est, je tombe enfin, toi tu es tout en bas.
Tu m'accueuilles dans tes bras, enfin je suis heureux....
___________________________________________________________

* __Seconde chance?__*


Bien que cette histoire me parraissait déja loin,
Mon coeur jamais n'avait effacé cette souffrance
Qui laissait en moi un très mauvais gout de rance
Telle une oeuvre à laquelle on ne connait point de fin.

Même si nous avons renoués les liens déchirés
Et que l'amertume a laiissé place à l'espoir,
Je suis parfaitement conscient que je broie du noir
Car je ne te porte plus cette confiance passionnée.

Tout semble recommencer mais rien ne renait;
Ce ne sont plus les mêmes sentiments qui émanent
De mon coeur fragilement recollé envers toi Diane;
Je vois bien que tu continues de t'amuser.

Le pire que je n'avais jamais envisagé
Me blessa si profondément que j'en mourru
Lorsqu'une amie m'apprit qu'on t'avait vue dans la rue
Tendrement accompagné d'un homme que tu aimais.

Je sentis alors les larmes couler sur mes joues,
Sans même avoir essayé de les retenir,
Je décidai de, peu à peu, me laisser mourir.
Je suis las et ne peux lutter sans devenir fou.

Plus le temps passait, et plus les larmes coulaient,
Je voyais peu à peu mon destin inelluctable
Prendre le dessus sur mes tourments estimables;
Et je te vois, mon tendre ange, lentement t'éloigner.

Et bientôt, mes yeux ne croiseront plus les tiens,
Ton départ laissera en moi un vide immense
Car je ne peux me passer de ta brillance.
T'oublier est impossible, même sur le terrain.

Mon objectif atteint, je m'éloignerai à mon tour;
Mais je ne pourrais me rapprocher de toi,
Car cet endroit, les vivants ne le connaissent pas.
De là-haut, je veillerai sur toi mon amour...

Diane je t'aime

("terrain"c'est evidemment le playground
et "mon objectif", c'est le dunk.)
_________________________________________________

Et si je mourrais demain?


Si je meurs demain, je laisserai en souvenir
Ce poème, témoin de mon amour envers toi,
Où je te révèle ce que jamais je n'ai osé dire,
Ces paroles laudatives, pleines et vides à la fois.

J'aurais voulu te dire à quel point je t'aimais,
A quel point ton regard éclairait mon visage
Et ton sourire radieux mes sombres journés.
Rien n'aurait pu annoncer ce mauvais présage.

Malgré ces épreuves que tu m'as fait traverser,
Mon amour irréciproque pour toi reste infini,
Prisonnier de tes mailles je demeure ensorcelé
Et continue de croire à cette contre-utopie.

Cette profonde blessure a transformé
Ma raison de vivre en une raison de mourir.
Et malgré tout cela, quand mes yeux sont fermés
Ton visage si gracieux, à moi continue de s'offrir.

En ce dernier jour précédent la date fatidique,
Je veux être près de toi le plus longtemps possible
Et emmener avec moi ce derneir jour romantique
Où le monde semble autoriser l'impossible.

Diane, ce n'est pas sur Terre que tu mérites ta place;
Dieu s'est trompé, c'est au Paradis que vivent les Anges....


Et je m'arrête d'écrire, car je veux que ce poème, comme mon amour envers toi puisse éternellement rester sans fin.
C'était mon dernier poème sur toi.................................................

..............

je t'aime........

___________________________________________________

Voila, c'est tout

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