Bonjour.D'abord je précise qu'il ne s'agit pas de mon site. Ensuite, si une référence à un site sur la pratique de la circoncision n'a rien à faire sur un site médical, alors que les adeptes de cette mutilation prétextes des indications médicales farfelues pour cacher une pratique primitive qu'ils pratiquent simplement parce qu'ils sont des moutons... alors où peut-on y faire allusion, puisque nulle part le débat sur cette abomination n'est permis.
Ensuite, le matraquage médiatique va autant dans un sens que dans l'autre: les chaînes privées font état d'un islamisme rempant et de plus en plus prétentieux que toute personne vivant sur la planète terre peut constater, les chaînes publiques, elles, font la cours aux pays du maghreb qui les regardent.
Bref.
J'ai mis une url plutôt qu'un copié-collé parce qu'il me semble plus correct de mettre le lien. Alors pour ceux qui n'aiment pas les sources et se contentent des répliques de sources, voici un copié-collé:
L’origine de la mauvaise haleine
Les informations de ce paragraphe sont tirées pour l'essentiel d'un article du magazine " Pour la science
" de Mai 2002
L’odeur résulte généralement de l’activité métabolique des bactéries buccales
qui prolifèrent sur la langue et qui produisent des composés volatiles sulfurés
malodorants (principalement le sulfure d’hydrogène, le méthylmercaptan,
le sulfure de diméthyle et le disulfure de diméthyle). Dans 85 à 90% des
cas, la mauvaise haleine résulte d’un métabolisme microbien localisé dans
la bouche. En effet, la bouche héberge des centaines d’espèces bactériennes
qui se nourrissent de substances variées. Ces micro-organismes appré-
cient tout particulièrement les protéines dont les produits de dégradation
sont parfois fétides. Les bactéries buccales, en général anaérobies, produisent
du sulfure d’hydrogène, à l’odeur d’oeuf pourri, de l’indole, nauséabond
s’il est concentré, de la cadavérine, associée aux organismes en
décomposition, de la putrescine, présente dans la viande avariée, de l’acide
isovalérique, dont l’odeur ressemble à celle des pieds (le sulfure d’hydrogène
et le méthylmercaptan sont non seulement malodorants mais également
toxiques).
On considérait jusqu’à peu que les bactéries buccales se nourrissent de sucres
et non de protéines, et qu’elles n’étaient donc pas responsables de la
mauvaise haleine. Or, la plupart des protéines présentes dans la bouche
sont des glycoprotéines (des protéines liées à des sucres), et dans la salive
se trouvent des enzymes capables d’enlever leur suce aux glycoprotéines.
La mauvaise haleine peut avoir pour origine une parodontite, la destruction
des gencives. Certaines espèces bactériennes qui participent aux maladies
des gencives libèrent une odeur nauséabonde suivant le milieu dans lequel
elles se trouvent et les éléments nutritifs présents sur ce milieu.
L’arrière de la langue est la cause principale de la mauvaise haleine. Cette
région est mal nettoyée par la salive, et elle contient beaucoup de minuscules
invaginations où se terrent les bactéries, des bactéries qui ont une prédilection
pour les écoulements postnasaux et pour les débris alimentaires et
cellulaires qui s’y accumulent.
Dans 5 à 10% des cas, la mauvaise odeur ne s’échappe pas de la bouche
mais du nez ; notamment en cas de sinusite ou d’obstruction nasale chronique.
Dans 3 à 6% des cas, des amygdales infectées sont en cause. Dans
moins de 1% des cas, ce sont diverses maladies qui sont à incriminer : ainsi,
en cas d’insuffisance hépatique l’haleine a une odeur d’oeuf pourri, en cas
d’insuffisance rénale l’haleine a une odeur d’ammoniaque ou d’acétone, en
cas de diabète l’haleine a une odeur de pomme pourrie, en cas de malabsorptions
intestinales l’haleine a une odeur fétide ; il y a aussi le « syndrome
de l’odeur de poisson », ou triméthylaminurie, qui résulte d’une insuffisance
de l’enzyme qui dégrade de la triméthylamine, une molécule dont l’odeur
est celle du poisson (les personnes qui en sont atteintes ont l’impression
que leur salive et leur transpiration sent le poisson, mais leur entourage
ne perçoit pas cette odeur). Dans quelques rares cas, la mauvaise haleine
a pour origine un trouble de la digestion, un trouble de l’estomac (sténoses,
gastrites), un trouble de l’oesophage (diverticules, sténoses, mégaoesophage)
; un reflux continu de gaz ou de matière putride en provenance
de l’estomac indique une maladie comme une fistule entre l’estomac et l’intestin,
ou encore un reflux stomacal suffisamment grave pour faire remonter
le contenu de l’estomac.
Les autres source de la mauvaise haleine sont notamment une mauvaise
hygiène de la bouche (surtout si des débris protéiques persistent entre les
dents), l’inflammation des gencives, les soins dentaires mal faits, des dents
mal lavées, des abcès. L’assèchement de la bouche (en cas de respiration
par la bouche, lors d’un jeûne, de bavardage prolongé, el stress, certains
médicaments — comme les psychotropres, les antihistaminiques, les antihypertenseurs
—, le tabagisme, l’alcoolisme) aggrave la situation.
Le traitement de l’halitose
Le traitement superficiel consiste à masquer l’odeur avec des produits à
base de menthol.
Le traitement antibactérienavec des produits à base de chlorhexidine (bain
de bouche désinfectant), de chlorure de cétylpyridinium (actif sur les sulfites
d’hydrogène et sur le méthylmercaptan), de dioxyde de chlore (agent
antioxydant puissant qui détruit les composés volatiles sulfurés), produits à
base d’huiles phénoliques aromatiques comme le thymol ou d’eugénol,
produits à base de triclosan (un chlorophenol, puissant bactéricide incorporé
dans les produits cosmétiques, détergents, et même dans des textiles ou
des plastiques)
Le traitement neutralisant ; qui convertit les formes volatiles des composés
volatiles sulfurés en formes non volatiles avec des produits à base de bicarbonate
de soude, de chlorure de zinc, de citrate de zinc.
Le traitement mixte ; antibactérien et neutralisant avec un produit comme
la Listérine ®, avec un traitement bi-phase à base de chlorure de cétylpyridium
et d’huiles essentielles, un bain de bouche à base de triclosan et de
chlorure de zinc, ou de chlorhexidine, de lactate de zinc et de chlorure de
cétylpyridinium.
Voilà.
Je reviens sur le produit Oropur. Il semble avoir un effet salutaire sur moi, mais partiel. Salutaire parce que j'ai du reflux gastro-oesophagien, qui est sans doute en partie à l'origine de mon soucis. Ces gélules semblent effectivement apporter un mieux; elles produisent une sorte d'assainissement. Une pilule à jeûn semble déjà produire un certain effet, mais il faut absolument avaler deux autres pilules après le petit déjeuner, et après chaque repas. Si vous ne respectez pas la prescription, ça ne marche pas. J'ai essayé de ne pas la suivre, d'une part pour ne pas me ruiner, d'autre part pour ne pas avaler ces trucs ad libitum.
J'ai des soucis ORL qui participent sans doute de mon halitose, mais côté émanation estomacale, je pense pouvoir dire qu'elle est neutraliser.
Mais c'est à vous de me le dire. Hhhhhh! Vous sentez là, mon haleine ?
Vous voyez, vous ne sentez rien ! :-D
En conclusion provisoire. On doit sans doute pouvoir dire que l'halitose sévère, chronique, n'a sans doute pas une seule cause. C'est pourquoi elle est difficile à traiter.
Un truc comme çà. J'ai lu un article de Libé selon lequel l'armée us avait tenté de mettre au point une arme biologique qui aurait rendu l'armée adversaire irrésisiblement homosexuelle, afin, bien sûr, que les soldats pensent plus à se baiser entre eux qu'à guerroyer. L'idée aurait été abandonnée, mais une autre aurait été ou serait à l'étude: une arme biologique qui causerait une halitose chronique !
je mets pas l'url, on va me traiter d'anarchiste.