Modifié le 21-06-04 à 12:03 (GMT)La discussion de samedi que vous avez tous en mémoire m'amène à cette question.
Première hypothèse : l'alcoolisme est une maladie.
Dans ce cas, nous est il possible de choisir le moment ou on va avoir une crise ? Sachant de plus que l'alcoolisation est très liée aux "trop pleins" émotionels.
Mon avis : un peu de tolérance et de compréhension pour celui qui se noie dans l'erreur. Quand un homme ou une femme est couché(e) dans le caniveau et crie au secours, on peut aussi tirer sur l'ambulance ou encore se boucher les yeux, les oreilles et rentrer tranquillement chez soi (c'est vous qui voyez ...).
Préconisation : suprimer le forum ou le rénommer "comment j'ai arrêté l'alcool" et le réserver aux seuls abstinents (les autres -toi, moi, nous- dans l'alcool, ont tous fait/dit au moins une connerie comme Franck une fois dans leur vie, donc exit ..)
Deuxième hypothèse : l'alcool n'est pas une maladie.
La cause devient extrémement simple : On peut donc maîtriser quand et où on peut boire et gérer. Si on ne le fait pas, c'est parce qu'on a choisi : c'est donc par vice .
Préconisation : supprimer le forum ou le renommer : "sortir du vice alcoolique" (ligue de vertu ?)
Alors, maladie ou pas ?
Suite à la discussion de ce WE, je souhaite à tous ceux qui sont mal (par l'aolcool et/ou pour d'autres raisons) de trouver un jour la serénité.
Mais de grâce, avant de juger l'autre, balayons tous devant notre porte d'abord.
Merci.
Amitiés à tou(te)s
RVCat