Je me souviens j'avais alors 16/17 ans, je l'avais dévoré ce livre.
J'avais de suite réempilé avec "la vie est ailleurs" (d'ailleurs, rien que le titre me parlait).
Je sais qu'il a sorti un bouquin, il y a pas si longtemps.
Tu l'a lu ?Mais, je croyais hier soir, me souvenirs de quelques bricoles, mais, niet... mise à part que cela se passe pendant le printemps de Prague...
Je vais relire donc...
En ce qui concerne cet extrait... Il me laisse perplexe.
Il faudrait donc un coupable...
Un coupable à notre sacrifice...(?)
Mmmmmm.....
"J'y retrouve l'écho des souffrances, et parfois des dérives, que vous nous faites parfois partager"
- J'imagine que tu parles des femmes, pas en tant que mère, mais en tant que conjointe de vie... non ? me trompe-je ? (Tu pourrais me dire que l'une et l'autre sont liées mais pourtant, il est tellement important, il me semble, de les dissocier)
"Face à ses deux maris, elle était désarmée. "
- mais on pourrait aussi : "Face à ses deux épouses, il était désarmé."
Nan, décidemment sorti du contexte... Il faut que je relise ...
On peut aussi citer toujours dans le même bouquin :
« Notre vie quotidienne est bombardée de hasards, plus exactement de rencontres fortuites entre les gens et les événements, ce qu'on appelle des coïncidences. Il y a coïncidence quand deux événements inattendus se produisent en même temps , quand ils se rencontrent : Tomas apparaît dans la brasserie au moment où la radio joue du Beethoven... »
Quel merveilleux film aussi d'ailleurs.
bon samedi,
s.