Bonjour Eva,D'abord à Cachou: "Je suis au fond psychologiquement" - je vous envoie plein de pensées positives!
Ne pourrait-on pas également comparer la dépendance à l'alcool aux grignotages d'une personne confrontée à un problème de poids? Dans ce cas aussi, les régimes suivis d'une reprise de poids sont un phénomène extrêmement fréquent. Certains diront que l'alcool, c'est très différent, mais je n'en suis personnellement pas persuadée du tout. Peut-être le plus jamais - qu'il s'agisse de petits gâteaux, d'un verre ou d'une cigarette - est-il simplement extraordinairement difficile. Par ailleurs, l'opprobre social lié à l'alcoolisme est tel qu'il augmente encore le sentiment de culpabilité après une "chute". Peut-être pourriez-vous également voir les choses de façon plus positive: vous avez "tenu" pendant quatre mois - j'en suis moi-même à 132 jours - ce qui prouve bien que vous en êtes capable. Un écart n'y changera rien si votre détermination reste totale. Donc: oubliez cet épisode, profitez-en pour raffermir votre volonté en constatant à quel point il est plus agréable de se réveiller le matin en pleine forme et tout de bon pour les quatre prochains mois!
Amitiés,
Isabelle