Bonsoir Bertha et François,
Personnellement, je réitére ce que j'ai dis hier à Bertha, je la trouve assez lucide pour se rendre compte de son problème, qu'elle reconnait d'ailleurs implicitement, et que si elle en ressent réellement le besoin, elle entreprendra d'elle meme les démarches necéssaire à son sevrage et sa prise en charge thérapeutique. Comme disait Arcenciel dans un autre post, il faut avoir marre d'en avoir marre. Au vu du questionnement évoqué je pense qu'une thérapie ne serait pas un luxe en plus de visite chez un alcoologue. Maintenant, si j'ai bien compris le problème est la prise en charge au Québec, là je n'en sais rien, mais il me semble que quelqu'un a mis un lien avec adresses et à proposer son aide si ce n'est pas dans la meme région.
Pour ce qui est des risques d'un sevrage à "la dure", effectivement je cofirme tes propos, les risques sont trés important, d'autant que le degrés de dépendance physique est élevé.
Il est clair que Bertha détient à présent toutes les infos nécessaires et qu'il est difficile sur un forum de comprendre les mécanismes de chacun à distance, chacun doit aussi trouver ses réponses et ses propres solutions, souvent avec l'aide de professionnels. Nous ne pourront jamais résoudre vingt ans de consommation en vingt posts et trois bons conseils.
Bonne soirée à vous.
ERIC