Modifié le 15-12-04 à 21:11 (GMT)
Le financement du plan Borloo, adopté mercredi dernier à l'Assemblée, repose en grande partie sur la décentralisation
La loi de cohésion sociale engage 15 milliards d'euros en cinq ans, mais, concrètement, les seuls crédits votés sont ceux du ministère de Jean-Louis Borloo, qui a prévu de consacrer en 2005 un seul milliard à la cohésion sociale. Le ministre mise sur les élus locaux pour assurer la réussite de son plan adopté hier en première lecture à l'Assemblée nationale. Principale innovation : le contrat d'avenir qui s'adresse aux titulaires de minima sociaux (RMI, ASS ou API).
L'Etat prescripteur, pas payeur.