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"Pyelonephrite"

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Giulia (435 messages) Envoyer message email à: Giulia Envoyer message privé à: Giulia Voir profil de ce membre Voir addresse IP de cet auteur
25-10-04, 20:32  (GMT)
"Pyelonephrite"
Bonsoir
Voilà ma petite soeur de 16 ans fait une pyelonephrite.
On a fait venir sos medecins qui a fait pratiquer des analyses en urgences. On aura les résultats demain.

Quelles sont les causes des pyelonéphrites, mis à part que là aucune cystite n'était présente ?


Merci de votre réponse chers docteurs
Giulia

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  Liste des réponses à ce message

  Sujet     Auteur     Posté le:     ID  
 RE: Pyelonephrite Irleana 25-10-04 1
   RE: Pyelonephrite Giulia 25-10-04 2
       RE: Pyelonephrite Ln2 26-10-04 3
           RE: Pyelonephrite Giulia 26-10-04 4
               RE: Pyelonephrite Irleana 27-10-04 5
                   RE: Pyelonephrite Giulia 27-10-04 6
                       RE: Pyelonephrite anchieta 21-11-04 7
                           RE: Pyelonephrite Cafe_Sante 21-11-04 8

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Texte des réponses

Irleana (1200 messages) Envoyer message email à: Irleana Envoyer message privé à: Irleana Voir profil de ce membre Voir addresse IP de cet auteur
25-10-04, 22:01  (GMT)
1. "RE: Pyelonephrite"
Modifié le 25-10-04 à 22:02  (GMT)

Bonsoir Guila,

Je ne suis pas experte en la matière, mais voici quelques docs qui j'espète sauront t'éclairer
Extraits de http://www.e-sante.fr/magazine/article_6194_214.htm#CAUSES
(Il y a un dossier plus complet)
<<QUELLES SONT LES CAUSES ?
Le système urinaire comprend les reins, les uretères, la vessie et l'urètre. Les reins ont pour principale fonction l'épuration des déchets du sang. Les uretères sont deux canaux collecteurs, acheminant ces déchets sous forme d'urine, des reins à la vessie. L'urine s'accumule dans la vessie qui fait office de réservoir entre les mictions (quand on urine). Elle sort de la vessie par un tuyau appelé urètre.
Une infection des voies urinaires est provoquée par des bactéries (microbes) qui attaquent les reins, les uretères, la vessie ou l'urètre. Les urines ne contiennent pas de germes en temps normal. Les bactéries s'introduisent par l'urètre pour remonter ensuite à la vessie, provoquant alors une infection de vessie. Secondairement, les germes peuvent remonter par les uretères jusqu’aux reins. Une infection des reins est appelée pyélonéphrite.
Les bactéries les plus fréquemment en cause dans les infections urinaires sont les Escherichia coli (E. coli) qui vivent naturellement à la surface de la peau dans la région génitale. Il y a parfois des causes plus rares d’infection comme un blocage de l’écoulement de l’urine au niveau de l’urètre (les deux reins sont bloqués), ou plus en amont sur un des uretères (seul le rein drainé par l’uretère en question est atteint.
Ces blocages peuvent être dus à une séquelle chirurgicale (après une opération du pelvis ou de la prostate), ou à une malformation congénitale des voies urinaires. Chez certaines personnes, il existe ce qu’on appelle un reflux vésico-urétéral, c’est-à-dire une remontée de l’urine de la vessie vers les reins, ce qui ne peut se produire en temps normal en raison d’une valve anti-retour qui n’existe pas dans certaines malformations. Les femmes en général, les femmes enceintes en particulier, les diabétiques ou les personnes ayant une sonde urinaire en permanence ont plus souvent des infections urinaires parce que l'urètre de la femme est plus court que celui de l'homme et que les bactéries remontent plus facilement dans la vessie.<<

Deuxième lien beaucoup plus complet:
http://www.uropage.com/ART_infec3.htm
Extraits:<<Le terme pyélonéphrite désigne une infection bactérienne du rein et ne doit pas être confondu avec la glomérulonéphrite, qui est une affection inflammatoire des cellules filtrantes du rein qui aboutit à une maladie néphrologique, prise en charge par des néphrologues.<<

Troisième lien, quelque plus difficile d'accès.
http://www.nephrohus.org/uz/article.php3?id_article=71

Voilà, ce n'est pas grand-chose, en attendant de touver mieux.

Cordialement
Et Bon Courage Guilia

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Giulia (435 messages) Envoyer message email à: Giulia Envoyer message privé à: Giulia Voir profil de ce membre Voir addresse IP de cet auteur
25-10-04, 22:23  (GMT)
2. "RE: Pyelonephrite"
Merci Irleana,
Je vais m'y atteler de ce pas à la lecture.


Merci encore
Giulia

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Ln2 (2466 messages) Envoyer message email à: Ln2 Envoyer message privé à: Ln2 Voir profil de ce membre Voir addresse IP de cet auteur
26-10-04, 01:26  (GMT)
3. "RE: Pyelonephrite"
Bonsoir,

Sur le forum, c'est par là :
http://www.atoute.org/dcforum/DCForumID5/565.html
http://www.atoute.org/dcforum/DCForumID5/5797.html
http://www.atoute.org/dcforum/DCForumID5/1574.html
http://www.atoute.org/dcforum/DCForumID5/10983.html

Mais nous pouvons continuer ici étant donné le titre explicite et la réponse riche d'Irleana.


Cordialement,

Hélène, étudiante en médecine

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Giulia (435 messages) Envoyer message email à: Giulia Envoyer message privé à: Giulia Voir profil de ce membre Voir addresse IP de cet auteur
26-10-04, 11:41  (GMT)
4. "RE: Pyelonephrite"
Merci Hélène de nous laisser continuer la discussion.

Par contre comme les titres des autres discussions ne sont pas très explicites, il est difficile de les retrouver

Merci encore
Giulia

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Irleana (1200 messages) Envoyer message email à: Irleana Envoyer message privé à: Irleana Voir profil de ce membre Voir addresse IP de cet auteur
27-10-04, 10:24  (GMT)
5. "RE: Pyelonephrite"
Modifié le 27-10-04 à 16:03  (GMT)

Bonjour Guilia

J'espère que les résultats sont vite arrivés... Et que le traitement soulage déjà quelque peu ta soeur.
Je n'ai pas de documents très pointus à te proposer ce matin, juste un petit complément de http://www.doctissimo.fr/html/sante/encyclopedie/sa_520_infection_urinaire.htm

Les infections urinaires

Qu'est-ce que c'est ?

C'est l'infection - aiguë ou chronique - d'un organe qui fait partie de l'appareil urinaire : la vessie (réservoir des urines), le rein (qui fabrique l'urine), l'urètre (canal situé sous la vessie qui permet l'évacuation des urines), ou la prostate (glande située autour de l'urètre de l'homme).

Pour des raisons anatomiques, l'infection urinaire est plus fréquente chez la femme. En effet, chez la femme, le méat urinaire est proche de l'anus où sont toujours présentes des bactéries. Ces bactéries peuvent remonter le long de l'urètre vers la vessie et proliférer dans l'urine.

Un défaut d'hygiène locale peut donc favoriser les infections urinaires de la femme.

L'homme est relativement protégé des infections urinaires par la distance qui sépare l'anus et son méat urinaire-orifice situé à l'extrémité du gland- (la longueur de l'urètre masculin est en moyenne de 16 cm, alors que celle de l'urètre féminin est de 2 cm). L'infection urinaire est donc plus souvent chez lui la traduction d'une anomalie au niveau des voies urinaires, en particulier l'existence d'un adénome de la prostate (qui provoque une stase des urines dans la vessie).

Les bactéries (ou germes) responsables sont le plus souvent de la famille des entérobactéries (bactéries d'origine digestive) :


Escherichia coli (80 % des cas) ;
Proteus mirabilis (qui favorise les calculs) ;
Entérobacter, Citrobacter, etc.

Causes et facteurs de risque

Les urines constituent en effet un bon milieu de culture pour ces germes. L'organisme se défend contre l'infection urinaire par la vidange de la vessie : un apport d'eau suffisant pour assurer un bon débit urinaire est donc primordial.

Chez la femme, l'infection urinaire est liée dans la majorité des cas à un manque de boissons.

Le fait de s'essuyer d'arrière vers l'avant après être allée à la selle favorise les infections en apportant des bactéries vers le méat urinaire.

Le fait de ne pas uriner juste après les rapports sexuels (pour évacuer les bactéries qui sont entrées dans l'urètre) est un autre facteur important.

La constipation est un autre facteur favorisant, car la stagnation prolongée de matières fécales dans le rectum est une source permanente d'infestation.

Plus rarement, l'infection urinaire est causée par une malformation de l'appareil urinaire (remontée des urines de la vessie vers le rein par exemple) ou gynécologique (brides de l'hymen).

Chez l'homme, il est fréquent qu'on ne retrouve aucune cause à l'infection urinaire.

Avant l'age de 50 ans, l'infection est souvent due à un rapport sexuel non protégé. Chez l'homme plus âgé, la cause la plus fréquente est la présence d'une hypertrophie de la prostate (adénome prostatique) qui comprime l'urètre et engendre une stase de l'urine dans la vessie.

Tous les obstacles à l'écoulement de l'urine sont des facteurs d'infection urinaire: compressions de la voie urinaire, calculs, maladie du col de la vessie, pathologie de la prostate chez l'homme, rétrécissement de l'urètre, etc.

Enfin, certains dysfonctionnements neurologiques de la vessie, les infections des organes voisins (appareil gynécologique, anus) et toutes les manœuvres intra-urétrales (sondes urinaires par exemple) sont des causes plus rares.

Les signes de la maladie

Parfois, l'infection urinaire n'entraîne aucun symptôme, en particulier chez les personnes âgées.

L'infection urinaire peut se traduire par une fièvre isolée, sans aucun autre trouble, en particulier chez l'enfant ou chez les personnes âgées.

Typiquement, l'infection de la vessie (cystite) se manifeste par des brûlures pendant les mictions et des besoins fréquents d'uriner. Les urines sont parfois troubles, hémorragiques et/ou malodorantes. Il existe souvent une douleur ou une pesanteur dans le petit bassin.

L'infection de l'urètre (urétrite) se manifeste de la même façon que la cystite.

L'infection du rein (pyélonéphrite) est responsable de signes généraux: fièvre élevée à 39°-40°, frissons, altération de l'état général. S'y associent des douleurs lombaires qui peuvent être bilatérales. Parfois sont également présents les signes de la cystite.

L'infection de la prostate (prostatite) se traduit par des brûlures en urinant, des besoins fréquents et des faibles volumes urinés. Existent également une fièvre élevée, des frissons et parfois des signes grippaux (douleurs musculaires ou articulaires). Il peut exister un écoulement de pus par le méat urétral. L'urine peut être trouble et malodorante.

La consultation

L'interrogatoire note la présence de troubles mictionnels évocateurs, l'existence d'épisodes antérieurs ou de pathologie(s) associée(s). L'examen recherche avant tout une fièvre (pyélonéphrite, prostatite). Il porte sur les fosses lombaires (douleur à la palpation rénale en cas de pyélonéphrite), le toucher rectal chez l'homme (prostate douloureuse et inflammatoire en cas de prostatite) et l'examen gynécologique chez la femme (brides de l'hymen? Infection?). En cas de prostatite, il faut rechercher un globe (blocage complet de la vessie) par la palpation abdominale.

Examens et analyses complémentaires

La bandelette urinaire (disponible en pharmacie) oriente le diagnostic en une minute : elle révèle la présence de polynucléaires neutrophiles (globules blancs) et de nitrites.

L'examen cytobactériologique des urines (ECBU) confirme le diagnostic en identifiant la bactérie dont la sensibilité à plusieurs antibiotiques est testée (antibiogramme). Son résultat dépend des conditions de recueil.

Lorsque l'on craint une septicémie (passage de la bactérie dans le sang), un prélèvement sanguin est également réalisé.

Lorsqu'il s'agit d'une pyélonéphrite aiguë, on peut être amené à réaliser un bilan radiologique (radio de l'abdomen, échographie rénale) à la recherche d'une cause favorisante (calcul par exemple).

En cas d'infections urinaires à répétition, un bilan radiologique plus approfondi est nécessaire afin d'éliminer une malformation anatomique favorisante.

Evolution de la maladie

L'infection urinaire fait courir de nombreux risques.

Les infections urinaires basses (cystite, urétrite) peuvent, en cas de retard thérapeutique, évoluer vers une infection urinaire haute, c'est-à-dire touchant le rein (pyélonéphrite).

Toute infection urinaire avec fièvre (pyélonéphrite, prostatite) peut se compliquer de septicémie (passage de germes dans la circulation sanguine), avec un risque de choc septique (défaillance des organes vitaux) qui nécessite une prise en charge en réanimation.
L'infection peut provoquer un abcès du rein voire sa destruction.


Ces infections sont d'autant plus graves que le patient est fragile (diabète, déficit immunitaire, âge avancé…).

Le risque ultime est l'insuffisance rénale terminale dont le traitement est l'hémodialyse (rein artificiel) voire la greffe rénale.

La prostatite possède des complications particulières qui sont la rétention aiguë d'urine (blocage complet de la vessie) et la dissémination de l'infection aux testicules (orchite).

En cas de grossesse, toute infection urinaire est dangereuse pour la mère mais également pour le fœtus. Il y a un risque d'accouchement prématuré.

Traitement

Le traitement de l'infection urinaire repose sur l'antibiothérapie, la majoration des boissons et le traitement des facteurs favorisants.

En cas de cystite simple ou d'urétrite (infection urinaire basse isolée non récidivante) :


Soit un antiseptique urinaire pendant 10 jours ;
Soit un traitement antibiotique court sur 3 jours : antibiotiques de la familles des pénicillines ou des quinolones ;
Soit un traitement monodose en prise unique. Cette dose unique est efficace sur la majorité des germes impliqués dans les cystites aiguës.

En cas de pyélonéphrite aiguë ou de prostatite aiguë, il est habituel de prescrire des antibiotiques pendant 2 à 3 semaines. L'antibiothérapie doit être adaptée aux résultats de l'antibiogramme.

En cas de fièvre importante, d'altération de l'état général ou de complication (septicémie, abcès rénal), une hospitalisation est nécessaire pour surveillance médicale intensive. Une double antibiothérapie est souvent prescrite par voie intraveineuse les 2 ou 3 premiers jours, avant de relayer par des comprimés.

Dans le cas d'une pyélonéphrite par obstacle (rein obstrué par un calcul par exemple), une intervention de drainage est indiquée en urgence afin de sauver la vitalité du rein. Celle-ci est réalisée par les voies naturelles le plus souvent.

Un ECBU de contrôle pratiqué 2 jours après l'arrêt des antibiotiques vérifie l'efficacité du traitement.

En dehors des cas où une intervention de drainage du rein s'impose et où le patient doit rester à jeun, il faut toujours boire abondamment pour assurer un bon lavage de la vessie.

Conseils pratiques et informations diverses

Comme de multiples facteurs interviennent pour faciliter la contamination de la vessie, de simples conseils hygiéniques suffisent souvent à faire disparaître les cystites chez la femme en période d'activité sexuelle :


Boire plus de 1,5 litres par jour ;
Effectuer des mictions complètes en étant détendue ;
Pratiquer une toilette vulvaire au savon ;
Effectuer une bonne toilette après les selles ;
Lutter contre la constipation ;
S'essuyer avec le papier hygiénique en allant d'avant vers l'arrière ;
Eviter les toilettes périnéales trop énergiques ;
Uriner immédiatement après les rapports sexuels ;
Eviter les pantalons serrés et les sous-vêtements en fibres synthétiques qui favorisent la transpiration et la multiplication des germes.

En cas d'échec de ces mesures, le médecin peut être amené à proposer un traitement au long cours fait de petites doses d'antibiotiques prises en discontinu.<<Dr Lyonel Rossant, Dr Jacqueline Rossant-Lumbroso.


Voilà, il s'agit là d'un petit complément à adapter selon le cas, l'âge de la personne...Mais qui permet tout simplement de si'informer sur une échelle très générale.

Bonne continuation

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Giulia (435 messages) Envoyer message email à: Giulia Envoyer message privé à: Giulia Voir profil de ce membre Voir addresse IP de cet auteur
27-10-04, 10:46  (GMT)
6. "RE: Pyelonephrite"
Bonjour Irléana
Je ne suis pas vraiment repassée hier, étant bourrée de boulot jusque la moelle des os.

Donc quelques nouvelles en ce qui concerne ma soeur. On a eu les résultats des analyses qui confirment que c'est bel et bien une pyélo, mais pas besoin de l'hospitaliser, on peut etre soulagés car je craignais le pire en ce qui la concernait.
Les antibios sont les bons, ouf, quelques jours et ceci sera réglé.

Merci Irleana pour ces liens, je les lirai plus en profondeur quand je serai mieux réveillée (là j'ai la tete dans le sac !)


Giulia

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anchieta (6 messages) Envoyer message email à: anchieta Envoyer message privé à: anchieta Voir profil de ce membre Voir addresse IP de cet auteur
21-11-04, 14:34  (GMT)
7. "RE: Pyelonephrite"
Bonjour et merci d'avance de me lire,
ma fille Anna (presque 3 ans) a fait il y a deux semaines une pyélonéphrite qui a nécessité une semaine d'hospitalisation assez pénible. Dans trois semaines nous avons rendez-vous pour une cystographie afin de vérifier s'il y a reflux (en plus du dilatement du bassinet du rein diagnostiquée à la naissance). Je sais donc depuis 3 ans qu'il faut faire une analyse d'urine dès qu'elle a de la fièvre mais, maintenant qu'elle a eu une pyélonéphrite, j'aimerais savoir de combien de temps je dispose pour faire effectuer cette analyse sans lui faire courir de danger(il n'est pas toujours facile de faire uriner sur commande une petite fille de 3 ans !!!). Merci beaucoup.
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Cafe_Sante (8965 messages) Envoyer message email à: Cafe_Sante Envoyer message privé à: Cafe_Sante Voir profil de ce membre Voir addresse IP de cet auteur
21-11-04, 20:28  (GMT)
8. "RE: Pyelonephrite"
Bonsoir,

>maintenant qu'elle a eu une pyélonéphrite, j'aimerais savoir de combien
>de temps je dispose pour faire effectuer cette analyse sans
>lui faire courir de danger

La pyélonéphrite n'est pas une maladie foudroyante. Vous avez au moins une demi-journée.
Philippe,
médecin à la campagne

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