Bonjour à tous,Après une forte période alcoolique de cinq ans, après une dizaine de (vains) sevrages (je soignais la forme mais pas le fond du problème) et une cure (réussie) de deux mois dans une clinique psychiatrique en juillet-aout 2003, je suis désormais sobre et je pratique une abstinence totale.
Je reste néanmoins vigilant (on a toujours veillé à me rappeler qu'un malade de l'alcool était un malade potentiel à vie).
Cependant, j'ai parallèlement soigné mon syndrôme dépressif et, après avoir passé quinze ans sur des divans freudiens et lacaniens, les thérapies brèves (notamment la PNL) ont fait des merveilles sur moi.
(En aucun cas, je ne souhaite me montrer prosélyte mais, je me dois tout de même de le reconnaître.)
Bref.
Il y a quinze jours (soit quinze mois après ma sortie de clinique), j'ai refait un bilan sanguin (Gamme GT, Asat, Alat, etc.) et tout semble aller... sauf un taux de lipase qui me semble être un tout petit peu dans la moyenne supérieure.
.251 U/I (37°)..........Valeurs de références 114-286
A l'époque où je buvais, le médecin m'avait alerté sur un risque éventuel de pancréatite.
Est-ce donc logique que mon taux de lipase soit toujours aussi haut un an et trois mois après le sevrage ?
Merci infinimment de vos réponses et informations là-dessus.
Et bravo pour ce site !
Edshel (qui souhaite plein de courage à ceux qui, en ce moment-même, essaient de se sortir du tunnel !).