>Il est très facile de mettre tt sur le compte psychologique, "Tout mettre", oui.
Ce n'est pas le cas ici, puisqu'aucune autre cause n'a été retrouvée malgré de nombreux examens et huit ans de consultation.
>mais alors comment expliquer une amélioration très nette avec
>gydrelle et des ovules de colposeptine ?
J'ai l'intuition que ma réponse ne va pas vous plaire, mais cette amélioration ne veut pas forcément dire quelque chose.
L'effet placebo, par exemple, a ses raisons que la raison ignore...
>J'espère des réponses de personnes qui ont eu le même pb
>que moi.
Tout au plus pouvez vous espérer des témoignages de soutien, et à la rigueur des trucs et astuces pour mieux vivre la situation au quotidien.
Mais échanger des possibilités de traitements ou de diagnostics à partir de symptômes n'est pas une bonne idée.
Le psychosomatique a parfois bon dos, je vous l'accorde volontiers.
Mais de la même façon qu'il ne faut pas affirmer une cause psychologique sans avoir réellement cherché ailleurs, il ne faut pas non plus l'écarter de principe parce que l'idée déplaît.
Après plusieurs années de galères et de traitements inefficaces, vous ne perdez pas grand chose à tenter le coup...
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Cordialement, Hélène, étudiante en médecine |