"Vous considérez !"
Certains prennent seulement en considération ce qui est prouvé par les plaignantes et qui est parfois reconnu devant le Conseil de l’Ordre par les médecins abuseurs eux-mêmes.
C’est pas une "faiblesse passagère" ni un "amour violent" mais l’envie de s’amuser avec les patientes pour les détruire !
Sachant que la "violence" des violeurs qui ont un accès de "faiblesse passagère" c’est quand même un CRIME, cher monsieur.
Et il y a d’autres genres de passage à l’acte criminel : reconnu par certains pervers.
Mais en France, on s’arrange entre confrères, oui.
Et le processus disciplinaire du Conseil de l’Ordre contribue à ces petits arrangements entre amis puisque les plaintes sont vite enterrées ou alors les sanctions sont dérisoires.
Et ça c’est une réalité vécue, c’est pas une opinion de ma part ni une lointaine considération sans fondement : ça se passe comme ça dans le milieu médical français, cocorico !
"Totalitarisme...lois liberticides...y’a pas de justice...droits des accusés SURTOUT QUAND L’ACCUSÉ EST UN MEMBRE ÉMINENT DE LA SOCIÉTÉ"... Ah oui, surtout ça !
Vous me faites rire.
Question d’opinion, oui...
Effectivement, c’est pas la question des droits des victimes face au corporatisme du Conseil de l’Ordre et face aux membres éminents, parfois même proéminents s’agissant des confrères violeurs.
Ils ne sont pas vraiment "dérangés" ?
On ne va quand même pas les "éjecter" ni se déranger pour si peu ?
Pour d’autres que vous, victimes ou professionnels de la santé et observateurs étrangers, c’est une honte et un scandale qui est en train d’éclater en France.
De même qu’éclate en mille morceaux votre belle façade de respectabilité professionnelle SURTOUT QUAND L’ACCUSÉ EST UN MEMBRE ÉMINENT DE LA SOCIÉTÉ : comme vous dites.
L’honorable Professeur Hazout par exemple a eu le Conseil de l’Ordre à ses pieds pendant des années, la justice classait sans suite les plaintes de ses victimes, et les chers confrères contribuaient à ce que rien ni personne ne dérange le grand homme en lui proposant même la Légion d’honneur...
Une belle leçon d’inconscience professionnelle en toute hypocrisie !
Pour certains médecins, c’était le bon vieux temps.
Pour d’autres, c’est une nouvelle forme de conscience qui est en train d’émerger : une question de réflexion et non pas d’opinion.
Mais chacun défend ici ce qu’il veut, oui.