Non, cher collègue, il n’y a aucune évaluation du risque fracturaire fiable.
Depuis que l’OMS a, faute de "gold standard", retenu la DMO comme "marqueur" de l’ostéoporose, plus personne ne publie sur le risque réel. Probablement car les résultats montreraient une fois de plus que l’immense partie des femmes dites à risque par la mesure ne peuvent pas, en fait, être discriminées de celles qui ne risque rien.
D’ailleurs, si on exprime les résultats des études d’intervention en nombre de personne à traiter pour éviter une fracture, c’est pas terrible comme résultat.
Cordialement.
Pierrick.