1101 Signatures
Date |
Nom |
Message |
6 avril 2018 |
Louis-Adrien Delarue |
Médecin généraliste, Angoulême.
En France, aucune formation initiale de qualité des étudiants en médecine sur la relation soignant-soigné de manière générale. Il tombe sous le sens qu'une formation universitaire obligatoire s'impose. Et pas sur un cours de 2 heures... |
5 avril 2018 |
Brigitte Dusch |
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5 avril 2018 |
Anne Dubois |
Une évidence ... pas pour tous |
5 avril 2018 |
Layoumi |
Je soutiens la cause ! Profitez des personnes vulnérables C’est juste inadmissible ! |
5 avril 2018 |
Ana Odori |
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5 avril 2018 |
Miny.doc |
Savoir et faire savoir, encore et toujours ! |
5 avril 2018 |
mae |
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5 avril 2018 |
Dominique Nouet |
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5 avril 2018 |
Mahéva Ollier |
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5 avril 2018 |
Abeille |
Une victime |
5 avril 2018 |
Garance |
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5 avril 2018 |
Leean |
Keep to the Hippocratic oath ! Respect ! |
5 avril 2018 |
Pascal |
Cela devrait être la même chose pour les enseignants et éducateurs qui peuvent exercer un certain attrait pour des êtres en constructions qui peuvent facilement manipulable. |
5 avril 2018 |
JOLUEMSO |
quand va t on arreter les conneries ? |
5 avril 2018 |
Christiane D. |
C'est un minimum au niveau déontologie |
5 avril 2018 |
Miesch |
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5 avril 2018 |
Masana |
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5 avril 2018 |
Marie |
Indispensable de soulever ces faits délictueux et mortifères |
5 avril 2018 |
SophieG |
Médecin généraliste Tout à fait d’accord avec la pétition. Nous soignons des personnes fragiles et vulnérables et ne devons pas en abuser. Comme les enseignants. |
5 avril 2018 |
StethoMarto |
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5 avril 2018 |
ide30 |
Pour mettre fin à la toute puissance médicale
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5 avril 2018 |
Marceline |
choqué par ce que je viens de lire comment expliquer a ma fille que son médecin psy sera certainement pas puni c’est un prédateur d’autres filles sont dans le meme cas (elle avait 17ans au moment des fait )quoi faire ?
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5 avril 2018 |
Vincent Gitton |
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5 avril 2018 |
Mayouchka |
Psychothérapeute, J’entends bien trop souvent, hélas, certains patients me confier les abus sexuels ou tentative d’abus qu’ils subissent de la part de leur médecin ou soignant. Il faut porter plainte, c’est de l’abus de faiblesse, de confiance, et justement si l’on ne croit plus à la justice, alors le silence s’instaurera et ces prédateurs continueront à œuvrer en toute impunité... |
5 avril 2018 |
Catherine |
ous anesthésie ... sidération, ou simplement sous le charme. Avec ou sans l’abus de confiance.
C’est inacceptable. La relation médicale doit rester professionnelle. ... un point c’est tout. Tous ces actes indignes qui sont encore légaux en France ? On peut encore progresser en liberté. Allons-y.
# J’ai été victime. Je n’ai pas été entendue. L’abus sexuel, parlons-en. Nos médecins traitants devraient pouvoir être nos premier confidents. |
5 avril 2018 |
Joly |
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5 avril 2018 |
smile |
Bonjour, je suis d’accord. Les médecins n’ont pas le droit, de pratiquer des actes sexuels sans ; le consentement de leurs patients. Il vaud mieux, que cela s’arrête. |
5 avril 2018 |
sab |
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5 avril 2018 |
Andernos |
Je pense que cette initiative devrait être étendue à tous les praticiens médicaux et paramédicaux. En effet, cette transgression n’est pas que l’apanage de certains médecins mais va bien au-delà. Mon ex compagne est devenue la maîtresse de son kiné, ce qui a contribué à la destruction de notre couple. |
5 avril 2018 |
JP Roche |
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4 avril 2018 |
MARIE ROUSSEAU / ISOLDE LA GRONDE |
Ne pas oublier les professions autres : kiné, sexologues, etc |
4 avril 2018 |
dr jean luc vourc’h |
Un rappel primordial à des réalités psychologiques souvent oubliées... et qui s’étend à de nombreuses professions. |
4 avril 2018 |
christian Guérin |
Un rappel primordial à des réalités psychologiques souvent oubliées... et qui s’étend à de nombreuses professions. |
4 avril 2018 |
Barbara |
Enfin ! |
4 avril 2018 |
Hélène Lagrange |
On vit dans une réalité dans laquelle la femme n’a pas été admise en tant qu’égale de l’homme. Tous les aspects, qu’ils concernent la santé, la sexualité, l’épanouissement professionnel, familial et personnel ont été construits pour l’homme et autour de l’homme. Le pire a été de lui dire, lui faire croire qu’il était le seul décisionnaire de la vie politique, sociale et humaine. Alors, même si les mentalités évoluent, légiférer est indispensable pour ne pas entretenir un état d’impunité. 😂😎Nous avons tous une libido, elle n’est pas seulement masculine. Les "sexcès" relèvent d’un auto questionnement, d’une thérapie. En conclusion, votre démarche est bienvenue et attendue. En cautionnant les agissements de prédateurs,dominateurs de tous ces individus dans les sphères professionnelles, politiques, sociales et familiales, on a provoqué et toléré une forme de violence. Et on s’étonne aujourd’hui de La Violence. Si j’étais un homme, je serais soulagé que l’on prenne enfin en compte cette déviance humaine destructrice. Pour le vivre, je sais que nous pouvons compter sur les hommes. je les salue également pour ce Manifeste.
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4 avril 2018 |
Véronique |
Infirmière de profession , je soutiens à fond cette pétition qui a été courageusement menée. Il n'est pas question d'intrusion dans la vie privée d'autrui ! Le médecin (psychiatre ou autre) doit identifier et respecter le transfert émotionnel de son patient alors placé en situation de vulnérabilité. Cependant au delà du médecin, il y a l'être humain avec ses faiblesses, ses défauts et ses qualités. La frontière entre l'acceptable et l'inacceptable est mince et si facile à franchir, sous le couvert du pouvoir des blouses blanches.
Pour éviter ces dérives, après le triste constat des victimes, le signifier clairement dans le code de déontologie médicale est devenue une nécessité.
Que risque l'Ordre des médecins à rajouter cet article au code de déontologie? De quoi ont t'ils peur? Pourquoi protègent t'ils leurs confrères abuseurs????
Ma fille a été victime de l'un deux, sa vie bouleversée, avec de lourdes conséquences, et le soutien des médecins entre eux au sein de leur corporation a été injuste et sidérant, de quoi perdre pied un peu plus!!!!!! . Cette destruction de l'individu avec l'approbation de certains médecins, reste criminelle. Heureusement, ils ne sont pas tous ainsi !!! .
Je signe cette pétition avec enthousiasme, car j'ai l'espoir que les choses évoluent dans le bon sens pour les patients et les médecins respectueux. |
4 avril 2018 |
Dr Philippe SOPENA Médein Généraliste |
Merci d’avoir lancé cette pétition.
La violence de certaines réactions, la réponse négative (et hélas prévisible) de l’Ordre et le silence (prudent et embarrassé) de la Ministre confirment bien que vous avez touché juste.
J’ajoute qu’en en faire un « interdit absolu c’est paradoxalement rendre service à ceux des soignants qui pourraient, parfois, « être tentés »… En rendant « la chose » totalement « tabou » cela la rend « impensable » on peut donc… penser à autre chose, à soigner. |
4 avril 2018 |
sezu |
Je suis opposé à cette mesure qui serait à la fois contre-productive et impossible à appliquer.
Contre-productive: Il existe déjà un texte qui majore le délit lorsque la victime est sous l'enjeu d'un pouvoir. Cela voudrait dire que les rapports sexuels plus ou moins consentis seraient tolérables si les victimes n'appartiennent pas à la patientèle?
Impossible à appliquer: Comment faire lorsque le médecin est médecin traitant de sa compagne ou de sa femme? Même si cela n'est forcément l'idéal, allons- nous interdire les rapports sexuels?
Cette proposition me semble totalement inappropriée.
Je suggère plutôt que nous incitions et assistions les victimes à porter plainte, à former nos étudiants sur cette problématique ce qui les aidera également à décider du sort des enseignants qui profitent de leur statut. |
4 avril 2018 |
GRANGER |
Victime d'un médecin psychiatre qui n'a pas su rester à sa place lors du transfert analytique- |
4 avril 2018 |
Lea De Strooper |
Médecin généraliste retraitée |
4 avril 2018 |
Oishasan |
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4 avril 2018 |
Joëlle GUENOT |
Bonne initiative !! |
4 avril 2018 |
Marion |
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4 avril 2018 |
Dhuicq |
Cette protection juridique des patientes et patients qui peuvent être en situation de faiblesse vis à vis de leur médecin est indispensable.
Les 2 codes de la santé publique et de la déontologie médicale, qui y est rattaché, me semblent être de purs produits de notre droit administratif napoléonien.
Donc, n'étant pas juriste, ma question est la suivante : Serait-il possible de saisir directement le Conseil d'Etat , en passant outre au Conseil de l'Ordre, pour obtenir - par décret - une modification du Code de la santé publique afin d'accélérer la mise en place de cette modification du Code de déontologie médicale ?
Merci à toutes celles et ceux qui sont à l'origine de cette pétition et qui y ont sans doute déjà pensé.
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4 avril 2018 |
Dr. Eric Sylvestre |
Médecin généraliste, persuadé que cette forme de viol était interdite par le code de déontologie. Tout mon soutiens à cette demande et bravo pour cette initiative |
4 avril 2018 |
Chantal |
NON à ce "droit de cuissage" de médecins se prenant pour des seigneurs |
4 avril 2018 |
ch |
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4 avril 2018 |
Violette |
Victime d’un gynécologue il y à longtemps à l’hopital de Clamart alors que mon envie d’enfant (PMA) était entre ses mains. Je n’ai pas oublié et je signe |
4 avril 2018 |
nicole bonin |
Je signe sans aucun soucis pour que cela cesse ! Merci la tête au carré de nous avertir de ce genre de chose ! |
4 avril 2018 |
Monsieur T. |
Je signe sans aucun soucis pour que cela cesse ! Merci la tête au carré de nous avertir de ce genre de chose ! |
4 avril 2018 |
Dr Silvin Laurent |
"dont il(elle) assure le suivi". C’est le plus important. Silvin laurent @fakemedecine |
4 avril 2018 |
Barbier Christiane |
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4 avril 2018 |
egh |
en solidarité avec les victimes et en respect de la relation thérapeutique vraie et essentielle, éthique. |
4 avril 2018 |
Nathalie Le Hesran |
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4 avril 2018 |
Nathalie Le Hesran |
Merci la tête au carré et Dr DUpagne, il faut que cela cesse, il faut aider les victimes à parler pour que cela soit sanctionné et pour cela il faut pouvoir être reconnu victime par la justice et le code de déontologie médical. Le milieu médical est trop protégé. Je soutiens cette pétition. |
4 avril 2018 |
Stéphane Vincent |
Je suis vraiment étonné que cet article ne figure pas déjà dans le code de déontologie médicale. Un grand merci au Dr Dominique Dupagne. |
4 avril 2018 |
katou |
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4 avril 2018 |
kh |
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4 avril 2018 |
Séverine L. |
Victime de gestes pour le moins déplacés par un généraliste. Le conseil de l'ordre des médecins n'a proposé qu'une procédure que je qualifierait juste débile ! |
3 avril 2018 |
Dr Patrick MERER |
Protégeons les plus vulnérables |
3 avril 2018 |
Dr Renaud ROBERT cardiologue |
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3 avril 2018 |
slorre |
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3 avril 2018 |
brun |
Protégeons les victimes et les patients en général avec cet article du code de déontologie explicite et nécessaire.
Je soutiens totalement cette initiative! |
3 avril 2018 |
LILI |
Je demande une justice tout simplement entre certains médecins qui utilisent leur pouvoir et les patients fragilisés, sensibles, perdus quelques fois.
Mon psychiatre a profité de mon état de santé pour m'approcher, non pas dans son cabinet, mais tel un grand malade, il se présentait devant mon interphone, où il sonnait comme un fou, jusqu'à ce que je réponde, et ce à n'importe quelle heure y compris la nuit !Et si je le laissais dehors, il m'appelait sur mon portable à en plus finir ! Bien sûr, lui donnant toute ma confiance en thérapie, je lui expliquais ma douleur, ma souffrance alors que je supportais déjà l'harcèlement sexuel de mon directeur ! Je suis tombée dans son piège. Heureusement, mon médecin, une psy m'ont aidée. Je précise que ce fou a été simplement convoqué à l'ordre, composé que d'hommes....Je n'ai pas osé à l'époque porter plainte au commissariat pour viols. Merci de nous avoir donné à nous les victimes, l'opportunité de nous exprimer. |
3 avril 2018 |
Patrick |
Mettons fin à la culture du viol, y compris dans les cabinets médicaux et dans les instances de l'ordre des médecins qui préfère bien souvent protéger l'agresseur plutôt que la victime quand un scandale éclate. |
3 avril 2018 |
Matthieu L |
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3 avril 2018 |
Sylvain G. |
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3 avril 2018 |
Cédric |
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3 avril 2018 |
Dr B JOUPPE |
Je m’associe sans restriction à votre demande.
Méfions nous tout de même de la façon dont serait rédigé un tel article à une époque ou les textes législatifs tendent à être "sacralisés" et analysés comme un vérité absolue, en oubliant le but et l’esprit dans lequel ils ont été écrit.
Il est en effet essentiel de garder la liberté pour un médecin de soigner son propre conjoint.
L’interdiction ne vise donc pas la relation en elle même mais l’initialisation de cette relation par le biais de la consultation médicale : le serment d’Hippocrate d’ancienne formule - que j’ai souvent lu dans le bureau de mon père qui était psychiatre - exprime parfaitement cette nuance. |
3 avril 2018 |
Deflep |
Une honte que cet article ait été supprimé. Soutien à toutes les victimes. |
3 avril 2018 |
Yannick |
Bon courage à toutes les victimes de ces faits. Courage pour faire bouger les lignes de cet Ordre. Merci pour cette démarche |
3 avril 2018 |
GRANGER |
Victime d'un médecin psychiatre qui n'a pas su rester à sa place lors du transfert analytique- donc il est important que je signe pour que cela n'arrive plus à personne |
3 avril 2018 |
bb |
Prêter serment devrait aussi être étendu aux professions touchant à la santé : psychologue, kiné, ostéo... etc |
3 avril 2018 |
et tique |
Bons jours aux personnes qui parlent,en particulier les médecins.
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3 avril 2018 |
Lucas Beurton-Couraud |
Une protection claire. Et un délai legal entre la fin d'un suivi et le début d'une relation ? |
3 avril 2018 |
Camille |
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3 avril 2018 |
Saori |
Une loi permettant de protéger le/la patient.e contre tout professionnel de santé ou personne faisant "autorité" est plus que nécessaire |
3 avril 2018 |
Marion |
Choquée de devoir en arriver à signer une telle pétition. C’est pourtant si logique que les patient(e)s soient respecté(e)s dans leur intimité. De tels actes sont tellement inhumains... |
3 avril 2018 |
Sophie Lépine |
Thérapeute. J’ai eu plusieurs témoignages affligeants de femmes victimes de viols dans les milieux médicaux. |
3 avril 2018 |
Galia Saouma |
Faire respecter des règles ethiques et protéger les plus vulnérables est un devoir. |
3 avril 2018 |
Luko |
master en éducation, rien à voir avec la santé bien que... je signe cette pétition car je ne supporte pas que des gens utilisent la faiblesse des autres pour en arriver à leur fin et ce dans n’importe quel domaine. Je sais que c’est difficile mais pour toutes les personnes qui ont vécu ce genre d’abus, il faut parler ! |
3 avril 2018 |
Dr Véronique Jeanjean |
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3 avril 2018 |
Alexandra Penso - Psychologue |
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2 avril 2018 |
GaëlleM |
Je signe car cela m est arrivé également... |
2 avril 2018 |
BETRENCOURT |
Volontiers je signe. Je suis psychologue et soutien à 100 pour cent de ces victimes. Abus de faiblesse. |
2 avril 2018 |
Poissonvolant |
Quid des médecins hospitaliers (certains véritablement des prédateurs sexuels) par leurs statuts abusent psychologiquement et physiquement les jeunes personnels paramédicaux. Il existe depuis des décennies une omerta à l’hôpital. |
2 avril 2018 |
Dr Hubert |
Ne laissons pas quelques éléments corrompre notre profession, qui déjà est une cible privilégiée du compulsive-bashing. |
2 avril 2018 |
Christine Perrin |
Assistante sociale. Une évidence, et pourtant... |
2 avril 2018 |
Docteur Marie-Ange LECOMTE |
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2 avril 2018 |
Docteur Chloe Hozé |
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2 avril 2018 |
Bermeilly |
Médecin généraliste |
2 avril 2018 |
Marie Pascual |
ayant exercé la médecine pendant 40 ans, je sais que le tabou est très fort et la protection corporatiste de la profession puissante, il faut réinscrire clairement cet interdit dans le code de déontologie. |
2 avril 2018 |
Adrienne de Labarthe |
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2 avril 2018 |
Olympe |
C'est inadmissible... |
2 avril 2018 |
hicks olivia |
médecin, je pensais naïvement que l'interdit existait toujours dans le serment d’Hippocrate!
Poser l'interdit n'empêchera pas les abuseurs mais est essentiel! |
2 avril 2018 |
Mangatahina |
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2 avril 2018 |
Estelle |
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2 avril 2018 |
Isabelle Calves |
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2 avril 2018 |
hipparkhos |
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2 avril 2018 |
Jenfé |
Scandaleux tout simplement, en espérant que les juges en tienne compte dans leur décision, car le patient et/ou la femme enceinte, est toujours en situation de vulnérabilité lors d'une consultation médicale. |